L’incorporation, des critères énergétiques dans l’attribution du PTZ plus aurait fait baisser l’enveloppe moyenne du dispositif par rapport aux objectifs initiaux.
En effet l’état énergétique du parc immobilier Français dévoilé par le réseau Ex’im comptant dans ses rangs 73 cabinets de diagnostiqueurs indique que 80% des logements afficheraient ainsi une consommation énergétique comprise entre 151 et 450 kWh/m²/an (correspondant aux classes D, E, F).
Ce phénomène couplé avec la hausse de l’immobilier explique le bilan mitigé de cette mesure phare qui a malgré tout séduit un nombre plus important de nouveaux acquéreurs qu’en 2010.
En outre dans la région parisienne, le PTZ plus avec un montant moyen de 32.950 euros ne couvre même pas les frais de notaire.
Source : La tribune
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